Quels sont les types de maçonnerie?
Quels sont les types de maçonnerie?
Comme dans tout autre domaine, les maçons sont très divers dans leur métier. En effet, différentes constructions requirent différentes techniques dans plus d’une vingtaine de spécialisations.
Jusqu’à présent, on en dénombre une vingtaine de types de maçonnerie, sans compter les nouvelles méthodes qui s’introduisent peu à peu dans le milieu accompagnant la machinerie lourde telle des casse-pierres, des monte-charges ainsi que tout équipement connexe. Parmi ces 20 types de maçonnerie, on y retrouve donc des limonsinans qui se chargent d’ériger des murs en moellons, c’est-à-dire un type de roche facilement maniable. On y retrouve aussi des briqueteurs qui eux se chargent d’ériger diverses structures en briques. La maçonnerie n’étant pas seulement que de la pierre naturelle ou de la brique, elle possède son lot d’adeptes de ciment et de béton qui, à cause de leur spécialisation, ont été baptisés cimentiers par leurs confrères. On y retrouve même des plâtriers qui, vous l’aviez deviné, se chargent bien sûr du plâtre et ce, depuis le 11e siècle.
La maçonnerie elle-même étant à un âge vénérable de quelques 3,000 ans, une hiérarchie s’est formée au fil des générations de maçons. Déjà au 19e siècle, on comptait déjà 4 niveaux de compétence :
- La manœuvre, c’est-à-dire les jeunes garçons n’ayant pas de formation en maçonnerie telle quelle vu leur jeune âge, s’occupaient simplement de transporter les matériaux afin que personne ne soit à court de briques.
- Les compagnons qui posent la brique et le mortier selon les spécifications du maître.
- Les maîtres-compagnons qui surveillent et font la supervision de plusieurs ouvriers.
- Le maître. Le maître, comme son nom l’indique, agît beaucoup plus comme un architecte qu’un maçon. Il dirige principalement le tout afin que tout soit coordonné selon les normes. La principale différence entre le maître et les compagnons est le niveau de savoir que ces personnes possèdent. Le maître saisit bien l’ensemble de la profession, des matériaux ainsi que de l’exécution et la façon dont le tout doit s’ériger.
Comme vous le constatez sûrement, le champ de la maçonnerie est très vaste. Il suffit de trouver sa voie et le tout ne cesse de s’améliorer avec les différentes technologies modernes.
Comme dans tout autre domaine, les maçons sont très divers dans leur métier. En effet, différentes constructions requirent différentes techniques dans plus d’une vingtaine de spécialisations.
Jusqu’à présent, on en dénombre une vingtaine de types de maçonnerie, sans compter les nouvelles méthodes qui s’introduisent peu à peu dans le milieu accompagnant la machinerie lourde telle des casse-pierres, des monte-charges ainsi que tout équipement connexe. Parmi ces 20 types de maçonnerie, on y retrouve donc des limonsinans qui se chargent d’ériger des murs en moellons, c’est-à-dire un type de roche facilement maniable. On y retrouve aussi des briqueteurs qui eux se chargent d’ériger diverses structures en briques. La maçonnerie n’étant pas seulement que de la pierre naturelle ou de la brique, elle possède son lot d’adeptes de ciment et de béton qui, à cause de leur spécialisation, ont été baptisés cimentiers par leurs confrères. On y retrouve même des plâtriers qui, vous l’aviez deviné, se chargent bien sûr du plâtre et ce, depuis le 11e siècle.
La maçonnerie elle-même étant à un âge vénérable de quelques 3,000 ans, une hiérarchie s’est formée au fil des générations de maçons. Déjà au 19e siècle, on comptait déjà 4 niveaux de compétence :
- La manœuvre, c’est-à-dire les jeunes garçons n’ayant pas de formation en maçonnerie telle quelle vu leur jeune âge, s’occupaient simplement de transporter les matériaux afin que personne ne soit à court de briques.
- Les compagnons qui posent la brique et le mortier selon les spécifications du maître.
- Les maîtres-compagnons qui surveillent et font la supervision de plusieurs ouvriers.
- Le maître. Le maître, comme son nom l’indique, agît beaucoup plus comme un architecte qu’un maçon. Il dirige principalement le tout afin que tout soit coordonné selon les normes. La principale différence entre le maître et les compagnons est le niveau de savoir que ces personnes possèdent. Le maître saisit bien l’ensemble de la profession, des matériaux ainsi que de l’exécution et la façon dont le tout doit s’ériger.
Comme vous le constatez sûrement, le champ de la maçonnerie est très vaste. Il suffit de trouver sa voie et le tout ne cesse de s’améliorer avec les différentes technologies modernes.
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